MOUVERS Podcast avec Nomad Slim

300.000 ABONNÉS en 8 mois : la croissance fulgurante de Niko Mobilité | Ep. 055

Nomad Slim Season 2 Episode 55

Nico partage son parcours entrepreneurial atypique, décrivant comment il a transformé sa carrière d'artiste martial en un business en ligne prospère avec plus de 300 000 abonnés et un chiffre d'affaires impressionnant en quelques mois.

• Transition forcée vers le digital pendant la pandémie après son retour en Thaïlande
• Difficultés initiales à comprendre le marketing en ligne malgré son expertise physique
• Rencontre décisive avec son partenaire d'affaires qui l'a aidé à structurer sa communication
• Création de l'avatar "Nico Mobilité" pour séparer sa personne de son personnage professionnel
• Six mois d'expérimentation intensive avec différents formats de contenu
• Explosion soudaine de sa visibilité grâce à un Reels qui a atteint 1 million de vues
• Transition vers un modèle où il travaille seulement 2 heures par jour sur ses zones de génie
• Philosophie entrepreneuriale basée sur l'abondance qui "ruisselle" vers les autres
• Vision du succès inspirée par Sadhguru : éliminer les frictions de sa vie plutôt que d'être le premier

À quoi bon faire tout ce que l'on fait si ce n'est pas pour être plus heureux? Quel que soit votre projet, allez-y. On dit que vous n'avez aucune chance, mais foncez quand même!

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Speaker 1:

Salut à tous et bienvenue à toi, mon frère Nico, que j'accueille enfin dans la deuxième saison du podcast. Il était temps. Ça va aller crap, après des belles aventures qu'on a eues ensemble pendant bien des années. Tu es un habitué du podcast. Je pense que les gens qui ont écouté la première saison vont te reconnaître, mais ils ne vont pas s'attendre à ce qu'on va partager aujourd'hui Et je pense que ça va être peut-être le premier échange que tu fais, on va dire, dans des podcasts, dans lequel on va aborder les sujets qu'on va aborder, c'est-à-dire pour faire suite à tout ce que moi, je partage sur l'authenticité, la liberté financière, géographique, temporelle, reprendre la souveraineté sur sa vie. C'est une version que moi, je propose aux gens, et j'aime bien accueillir des gens comme toi, qui ont aussi des parcours tout aussi atypiques et qui, au final, vibrent avec la devise moi, je fais ce que je veux et le monde va s'adapter à mes envies.

Speaker 1:

Voilà, et donc là, aujourd'hui, on va un peu mélanger tout ça le business, la mentalité, mais surtout vraiment cette idée de on ne vit qu'une fois et autant faire les choses comme on en a envie. Et quels sont peut-être les éléments, les paramètres, le mindset à avoir pour assumer pleinement qui on est et créer un mode de vie entier, que ce soit en termes de liberté géographique, relation amoureuse, financière, qui nous correspond Vraiment. C'est la suite des enseignements de Know Yourself connais-toi toi-même qu'on va essayer d'explorer ensemble, toi et moi. Est-ce que ça te va comme programme, nico?

Speaker 2:

Moi, je suis absolument d'accord avec tout ça Et, comme tu dis, c'est une première fois que je le partage et ça va être l'occasion aussi, quand on partage quelque chose, de l'ancrer dans la réalité, de mettre un statement, et ça sera comme à chacune de nos conversations, ça sera un checkpoint dans une timeline qu'on prendra plaisir à revoir d'ici quelques années pour voir les étapes qui auront avancé et voir les évolutions, parce que, dans ce qu'on partage et dans ce que tu promets aussi, c'est cette capacité d'adaptation, de résilience, où créer un business qui te ressemble à qui tu es aujourd'hui et qui te ressemblera à qui tu seras demain.

Speaker 2:

Et c'est vraiment ce que j'ai à cœur de partager, parce que c'est ce que j'ai vécu, c'est ce qu'on a vécu ces trois dernières années, avec tout le chambardement qu'il y a pu avoir dans nos vies, dans la vie du monde en général, avec le Covid, les histoires de guerre, de machins. Donc, je te laisse me donner le starter Où est-ce que tu veux qu'on démarre? À quel moment est-ce que tu veux qu'on démarre l'échange? et on ira peut-être, de manière chronologique, jusqu'à aujourd'hui.

Speaker 1:

Écoute c'est une très bonne option de la hauteur et pas nécessairement raconter les choses étape par étape. Je pense que ce n'est pas spécialement intéressant, en tout cas ce n'est pas le plus intéressant pour moi, mais j'adorais évidemment pour le contexte. Il y a des gens qui t'ont connu à une époque où tu n'avais pas encore, par exemple, ton business en ligne. Tu étais à Cranken. Vu ce qu'il s'est passé pour toi ces trois dernières années, parce qu'on peut dire que tu as eu vraiment cette ascension fulgurante tu vois les postes qui explosent, le buzz, etc. Et je pense que tu es la bonne personne. En tout cas, moi qui te connais bien, je me dis c'est arrivé pour lui dans le parfait timing. En fait, ça correspond exactement à qui il était, à ce qu'il méritait Et c'était à ce moment-là qu'il pouvait de toute façon le manifester.

Speaker 1:

Donc, pour toutes celles et ceux aussi qui ont peut-être ces attentes vis-à-vis de lancer quelque chose ou, tu sais, la communication en ligne, cette double vie en fait qu'on vit il y a la vie réelle et il y a la vie digitale toi t'as pour moi, t'es la bonne harmonie et je te dirais même que c'est préféra âges-là, après déjà avoir accompli tant de choses, notamment toute ta vie de voyage, d'artiste martial, de combattant qu'on a déjà vu dans les épisodes précédents. Donc, ouais, ce serait bien d'avoir ton opinion là-dessus. Quand tu regardes, et tu regardes ce chapitre-là des trois dernières années, bah, ouais, qu'est-ce qui vient et qu'est-ce que t'as pu en apprendre?

Speaker 2:

Eh, ben ouais, c'est une belle épopée quand tu prends du recul et que tu regardes un peu ce qui s'est passé. Ça a été à la fois des rencontres, ça a été des déclics, ça a été des. Tu sais, quand tu prends une décision et que tu te dis allez là, maintenant je travaille sur un seul axe, j'acte toute mon énergie, mon temps et mon argent sur un seul axe, zéro concession, et on y va, zéro concession et on y va Donc jusqu'en 2021,. On va dire que mon activité était principalement physique. J'ai fait le switch par nécessité, au moment du Covid, puisque j'ai dû fuir la France entre guillemets et me rapatrier en Thaïlande pour être près de ma famille, parce qu'il y avait une telle inconnue sur le futur, sur ma possibilité de les revoir. En tout cas, il y avait une insécurité géographique pour moi qui était très, très forte. Donc, je suis rentré en Thaïlande Et même si j'avais des notions de faire un site Internet, de comment parler, d'utiliser les réseaux, tout ça, il y a la théorie et la pratique Et je me suis confronté à un gros mur parce que, pour la première fois de ma vie, comparé à la carrière sportive ou au fait d'être coach en physique, quand tu es dans le monde réel, on va dire que tu dépenses une calorie pour en recevoir une autre.

Speaker 2:

C'est factuel, c'est palpable. Tu peux facilement avoir le retour sur investissement. Tu peux comprendre ce qui se passe. Alors, le retour sur investissement. Tu peux comprendre ce qui se passe Alors que dans le virtuel, je me suis retrouvé à mettre des coups de bâton dans l'eau pendant des mois, je me suis retrouvé à pisser dans un violon à ce que personne n'entende ce que je dis, à me retrouver vraiment dans une sorte d'être affaune. C'est de crier, mais que personne ne t'entend. De travailler des heures et des heures à essayer de créer des offres qui soient sexy et que ça ne prenne pas de voir que tout le monde s'en branle de qui tu es, de ce que tu fais.

Speaker 2:

Et j'ai réussi à survivre parce que j'avais une base de fans qui étaient là. J'avais des anciens clients physiques qui étaient là, qui me faisaient confiance. Quire? parce que j'avais une base de fans, on va dire, qui étaient là. J'avais des anciens clients physiques qui étaient là, qui me faisaient confiance, qui savaient qui j'étais, qui ont fait le switch, naturellement, vers le online quand on décidait de me choisir, enfin, quand on décidait de continuer à me faire confiance malgré le online. Mais je me suis retrouvé dans une impasse où, très rapidement, je me suis confronté à un mur et c'était. Mais je ne peux pas continuer comme ça. Je suis un athlète, je suis quelqu'un qui met de la valeur sur sa mobilité, sur le fait de passer du temps dehors, d'être avec ses enfants, de tout ça Et là, je me retrouve à travailler 8 à 10 heures par jour, le cul sur un ordinateur, à faire un métier qui n'est pas le mien.

Speaker 2:

Des stratégies marketing, de devoir vendre sans avoir d'offres, sans pouvoir créer d'offres en tant que vendeur, parce que ne serait-ce que créer une offre, tu vois, c'est quelque chose qu'il faut savoir faire, c'est qu'il faut comprendre un marché, il faut comprendre…. Je faisais l'erreur d'essayer de continuer à être un généraliste, d'essayer de…. Comme j'étais dans un espace de manque et d'urgence, j'essayais de prendre le moindre chose qui puisse arriver à moi, j'essayais de saisir la moindre opportunité, sauf qu'en fait, ça faisait que j'étais flou. Personne ne savait qui j'étais, ce que je faisais réellement, des problématiques que je pouvais résoudre, toutes ces choses-là. Donc, le résultat de tout ça, c'était beaucoup d'énergie pour très peu de résultats. À la fois, ça a été formateur parce que j'ai essayé plein de choses.

Speaker 2:

J'ai la chance, je me remercie. J'ai de la gratitude pour mon caractère déterminé et qui lâche pas le steak. J'ai mis beaucoup d'énergie, beaucoup de temps, mais j'avais aussi une discipline à côté de ça qui me permettait de rester optimiste. Tu vois, j'avais déjà mes routines de méditation. On va dire que, d'un point de vue personnel, j'étais un socle fort, mais d'un point de vue professionnel, ça ne transformait pas, tout simplement parce que je n'avais pas les outils, je n'avais utilisé le marteau et la perceuse. Mais pour ma partie professionnelle, il fallait que j'apprenne à voler. Sauf que j'avais pas d'instructeur pour m'apprendre à sauter en parachute et à ouvrir ma voile comme il faut.

Speaker 2:

À chaque fois, ce qui se passait, c'est que je sautais et je me tapais le sol et, au bout d'un moment, tu en as marre. Au bout d'un moment, tu te dis je ne remonte plus dans l'avion, c'est lourd. Et puis, comme tu rentres dans un état d'esprit, comme je te disais tout à l'heure, de douleur et d'urgence en permanence, tu commences à faire des concessions. Moi, c'est surtout ça qui m'a fait le plus mal. C'est que j fallait que je fasse ce que les autres attendent de moi et pas moi de faire ce que je voulais faire réellement.

Speaker 2:

Et il y a eu ce jour où j'ai rencontré mon partenaire, aujourd'hui en affaires, qui s'appelle Olivier que tu connais aussi, pas personnellement, mais que j'en ai déjà beaucoup parlé qui est arrivé dans ma vie vraiment comme un cheveu sur la soupe, de manière tout à fait inattendue, pour des raisons tout à fait différentes que celles du business. Pour un point de vue personnel, lui, il avait des objectifs sportifs, c'était déjà un entrepreneur dans le marketing, c'était quelqu'un qui savait comment faire de l'agence sur Internet. Je ne le savais même pas quand je l'ai rencontré. Donc, on s'est rencontrés sur une sphère vraiment personnelle et privée Et à la fin de son séjour en Thaïlande, après avoir atteint ses objectifs, il m'a dit Écoute, nico, ce n'est pas normal que tu ne vives pas de ce que tu fais sur Internet.

Speaker 2:

Et, encore une fois, je me remercie d'avoir eu cette, je le remercie, lui, de m'avoir proposé cette opportunité et je me remercie, moi, de l'avoir saisi, c'est à dire de ne pas avoir répondu à la tentation de vouloir tout contrôler, de rester dans mon univers. Il arrivait avec des outils qui me challengeaient vraiment d'un point de vue philosophique. C'est là où je peux répondre, avec l'expérience que Steve avait eue, par exemple, où, tu vois, tu es dans un milieu très philosophique. Tu penses vraiment à avoir une approche holistique, bienveillante envers les gens, où tu peux avoir des croyances limitantes très, très fortes sur le fait de vendre, de demander de l'argent, tous ces choses-là, de choses-là. De parler de manière très directe à ton audience, d'être parfois violent avec elle pour appuyer sur les douleurs, des choses comme ça. C'était très nouveau pour moi, parce que j'étais dans un espace très bienveillant entre guillemets Et je n'avais pas compris qu'on pouvait être bienveillant tout en étant cachissage, exact.

Speaker 2:

Et Olivier m'a apporté cet équilibre. Il m'a tout de suite mis les pieds sur terre en me disant écoute, je ne vais pas changer qui tu es. Par contre, si tu veux que les gens sachent qui tu es, si tu veux qu'on t'écoute, il va falloir changer la manière dont tu parles, il va falloir être plus précis dans ce que tu veux apporter dans ce monde Et ne t'inquiète pas, je vais t'aider à le faire. Et donc, on s'est mis ensemble à travailler là-dessus Et c'est là que je me suis rendu compte que le meilleur moyen pour moi de performer dans ce que je voulais apporter, on a découvert une problématique. Moi, je me suis rendu compte que ma zone de génie, elle, était pour aider les personnes qui sont du niveau zéro à passer au niveau 1. Il y a des gens, comme d'autres coachs, qui sont très forts pour t'amener du niveau 4, 5 à 6, 7, 8, 9, 10. Moi ma zone de génie, elle est vraiment pour prendre les total débutants Je me suis rendu compte qu'il y avait plein de gens qui ne savaient pas s'entraîner, qui n'avaient aucune conscience de leur corps, qui vivaient en dehors de leur corps depuis des dizaines d'années, voire des cinquantaines d'années, puisque j'ai une population qui parlait à ces gens-là.

Speaker 2:

C'est des gens qui ont parfois un vocabulaire très restreint au niveau du corps humain, qui n'ont jamais mis de mot sur leur mot, hormis ceux des différents médecins qu'ils ont pu aller consulter, et ils sont passés de croyance en croyance par rapport à eux-mêmes. Donc, en fait, on a déterminé vraiment l'avatar auquel j' le meilleur moyen de répondre à cette audience, c'était de créer moi-même un avatar, c'était de créer un personnage. Et ce personnage qui a été créé, ça a été Nico Mobilité. Le jour où j'ai fait la dissociation entre Nicolas Ragnel et Nico Mobilité, tout a changé parce que j'ai eu cette opportunité de pouvoir vraiment m'adresser.

Speaker 2:

Opportunité de pouvoir vraiment m'adresser, c'est comme si j'étais devenu un software qui correspond à un type de personne. Je prenais un seul accent, un seul langage, et je me concentrais sur ce truc-là. Et c'était plus personnel, c'était vraiment devenu quelque chose de systémique. Et c'est plus personnel, c'était vraiment devenu quelque chose de systémique. Et c'est cet abattard qui parle aux autres. C'est comme tu sais, il y avait Adibou, à l'époque, là, chez nous, le mec derrière Adibou, il avait 50 ans, tu vois, et il parlait à des enfants. Tu vois ce que je veux dire, c'était le personnage éducatif.

Speaker 2:

Tu vois Le Jamyamy, tu vois ce que je veux dire, le Jamy de ce truc là. Et, en fait, bon, après ça, c'est mon langage intérieur, c'est comme moi je l'ai perçu. Mais le fait de me mettre dans ce personnage, dans cet avatar, ça m'a permis d'essayer plein de choses. Je pouvais essayer de parler autrement. C'était pas moi, c'était l'avatar, c'était Nicolas, c'était Nico mobilité, et ça m'a permis de faire plein de formats. Et justement aussi, on pourra y revenir sûrement dans notre échange. Mais l'importance de se faire accompagner, l'importance d'avoir un moi, pour moi, olivier, c'est mon mentor dans le domaine du marketing. Il y a des moments où j'ai mis mon égo de côté et lui, il me dit de faire ça comme ça, parce qu'on a besoin de collecter des datas, on a besoin de savoir que ça marche, on a besoin de machin. C'est pas, on n'est plus dans le ressenti, on n'est pas dans l'émotionnel, on n'est de connaître notre marché, ce qu'il a besoin, ce qu'il veut entendre, ce qui les aide le mieux, le format qui les aide le mieux, la manière de parler qui les aide le mieux.

Speaker 2:

Donc, on va tout essayer, on va tout essayer et sans sans moi. Voilà, sans me prendre personnellement si ça marche ou si ça marche pas. Et on a fait ça pendant à peu près six mois, avec une dose de productivité qui était absolument hallucinante, parce qu'à un moment donné, justement, comme la vision était claire, comme la démarche était claire, comme tout était planifié, qu'on savait où on allait, on ne savait juste pas quels allaient être les résultats, parce que c'était du test de tout ça La productivité, la capacité de création, le fait de se mettre dans des processus de travail, d'avoir la discipline de travail ça a été beaucoup plus facile.

Speaker 1:

C'est ultra important, ce que tu dis.

Speaker 2:

Voilà, et pendant six mois, il y a eu des moments où on a testé, par exemple, un poste par jour, trois postes par jour, un Reels, trois postes par jour, trois Reels par jour, trois postes par jour. Je ne sais pas si tu imagines la quantité de, enfin, si tu imagines très bien, parce que toi tu es productif aussi. Mais en gros, entre 2023 et 2024, j'ai fait à peu près 500 vidéos. J'ai tourné, écrit, scripté, monté, tout, tout seul. Près de 500 vidéos, plus les posts, plus les newsletters, plus tout ça. On était devenus vraiment des machines. Et ce qui s'est passé, c'est que le 7 août, on était, je me rappelle, moi, ça faisait depuis 2019 que j'étais sur les réseaux sociaux. Je devais avoir 1000 abonnés sur Instagram, j'avais 700 abonnés sur Facebook, sur ma page Facebook, mais c'était que des gens que je connaissais en physique, c'était que des gens que j'avais déjà rencontrés, que je connaissais physiquement.

Speaker 2:

Et le 7 août 2024, je poste un Reelsels en plus, pour l'anecdote, c'est un reels que j'ai fait à l'arrache dans un parc, 2023, 2023, pardon, 2023, dans un parc à l'arrache, juste avec une envie de bien faire. Tu vois, juste, vraiment, en écoutant mon feeling, en étant, en étant avec le bagage de toute l'expérience que j'avais eu des 6 mois de pratique. Mais à un moment donné, je me suis dit vas-y, j'arrête de me prendre la tête. Je fais ça parce que j'ai envie de le faire comme ça. Je sens que c'est le bon moment de le faire. Je poste le reel. Je vais me coucher le lendemain matin. Le reel, il a fait 1 million de vues. C'est passé de 700 Facebook à 10 000, je crois 8 000 en trois jours Et ça a eu une ascension jusqu'à atteindre les 300 000 abonnés sur Facebook en moins d'un an, en moins de huit mois.

Speaker 2:

Là, aujourd'hui, j'arrive à 300 000, bientôt sur Instagram. On a presque 100 000 sur YouTube, près de 500 000 sur TikTok. En fait, on a posté un reel de ce qui a fonction, tiktok et tout en fait, on a posté un reel, ce qui a fonctionné et tout le reste. Après, on a été prêt, on était prêt, on avait déjà tous nos offres qui étaient prêts, on avait tout le système qui était derrière, qui était prêt.

Speaker 2:

On avait tous les produits qui étaient déjà en place et tout. Le seul truc qui nous manquait, c'était de trouver la formule. Et voilà, j'ai compris que, ok, le format qui marche c'est quand je suis naturel, c'est quand je parle simplement, que je parle d'un seul exercice, que je fais ça et tout. Ok, j'aimerais pouvoir faire des formats plus longs, j'aimerais parler d'autres choses, j'aimerais aller plus en profondeur sur certains sujets, mais aujourd'hui, l'audience avec laquelle je raisonne, c'est les personnes qui travaillent le mieux avec moi et celles avec lesquelles j'ai les meilleurs résultats. C'est celles-là. Donc, nico Mobility, il va se concentrer sur celles-là, parce que là, ce n'est pas une question de j'aime ou je n'aime pas, machin et tout, c'est de créer un système qui me permet de. Et la suite, ce qui s'est passé, c'est que mes ventes ont explosé. On est passé de quelques milliers d'euros de chiffre d'affaires à plusieurs dizaines de milliers, jusqu'à atteindre le centaine de milliers d'euros de chiffre d'affaires en quelques mois, vraiment en quelques mois. Et la suite, ça a été ce qui se passe en 2025.

Speaker 2:

C'est que, maintenant que j'ai cette abondance financière, maintenant que j'ai cette abondance financière, maintenant que j'ai cette assise, maintenant que j'ai ces résultats avec des gens qui ont transformé leur vie. Même moi, je ne m'attendais pas à recevoir autant de. Tu sais, quand tu fais ton travail, tout seul, de ton côté, tu sais que tu fais quelque chose de bien. Mais quand tu te retrouves à avoir un email, dix emails, cent emails, mille emails de personnes qui te disent que la routine que tu leur as partagée, elle, a transformé leur quotidien, que le papy de 80 ans, il m'écrit pour me dire qu'il a perdu 10 kilos, qu'il retouche ses pieds, qu'il fait de la marche tous les jours, qui peut rejouer avec ses enfants, tu vois qui a l'impression de se reprocher pour encore dix ans. Tu vois, il te dit waouh, ce que je suis en train de faire, c'est excellent. Et donc, toute cette assise, qu'elle soit financière, qu'elle soit énergétique, puisque l'argent, ça t'appourer de personnes pour optimiser ton travail, tout ça de trucs et tout. Et la suite logique maintenant, c'est que, ok, nico, mobilité, il a créé ça et je suis dans la phase où, justement, je vais pouvoir aller plus loin.

Speaker 2:

C'est-à-dire qu'il y a cette première étape, c'est-à-dire que j'ai créé cette porte d'ouverture pour que n'importe qui peut rentrer par là, que tu sois sportif accompli ou que tu sois Mireille, 57 ans, sclérose en plaques, tout ça, tu peux rentrer par cette porte-là Et ensuite, si tu veux aller plus loin, si tu aimes ce que tu vois, si tu veux aller plus loin, là je vais proposer autre chose, ou là, ça va être beaucoup plus personnel, ça va rapprocher ce que toi tu proposes.

Speaker 2:

D'ailleurs, on travaille ensemble là-dessus pour amener la prochaine étape, c'est-à-dire ramener le plus de gens possible à avoir un style de vie en accord avec leurs valeurs profondes, avec ce qu'ils veulent créer, ce qu'ils veulent apporter dans ce monde, ce qu'ils veulent pour leurs enfants, pour les autres, pour la planète, enfin, de créer cette harmonie, en fait, qui n'est pas qu'une utopie, parce qu'en fait, ce n'est qu'une question de moyens. Et tant que t'as pas les moyens, bah t'as du mal à y croire. Mais une fois que tu as les moyens, tu te rends compte que c'est juste. Dans quelle direction est-ce que tu mets ton temps, ton énergie et ton argent pour réaliser?

Speaker 1:

ce que tu as envie de réaliser. Amen. Merci, mon Nico, déjà, pour ce long parcours et cette longue description. Je te remercie. Il y a énormément de valeur, il y a plein de j'aime. Mais je vais rebondir là sur le tout dernier point, parce qu'en t'écoutant, je me rends compte, toi et moi, on a vécu quelque chose de similaire, c'est-à-dire qu'on a même si toi tu l'as vraiment bien distingué, moi je l'ai fait, on va dire un peu plus sur le tas. C'est pas le Nomad Slim d'aujourd'hui, movers. Et moi d'ailleurs, au tout début de mon aventure personnelle, les trois premières années, ça s'appelait Nomad Slim Movement Academy Et c'est après que c'est devenu Movers. Tu vois, et quand c'était Movers, le tout début, en fait, c'était encore Nomad Slim, le site, les mots qu'il y avait, les formations de Nomad Slim, ce n'était pas Movers encore. Et je te dirais que Movers, en fait, il est réellement né là l'an dernier, en 2024. C'est là où j'ai même là maintenant, le nom de domaine, c'est Moversco. Toute la merch, tout ce qui est autour de la communauté, c'est Movers.

Speaker 1:

Moi, d'un coup, créer un business pour nous permettre d'obtenir cette abondance financière et qui est comme un alter ego ou une version, peut-être pas plus réduite, de qui on est, mais un bout de qui on est, tu vois, basé sur ce que l'on sait surtout, tu vois. Et donc, là, c'est les formations. Moi aussi, ça a été des formations et avant ça, moi, ça a été des stages, et notamment de la préparation physique pour des athlètes de haut niveau. Alors que là maintenant, toi et moi, on est dans cette phase où maintenant, en fait, c'est qui je suis, que j'ai envie de mettre en avant, j'ai envie d'attirer des gens qui résonnent avec ma vibe, qui résonnent avec mon monde, ma manière de percevoir les choses. Et tu te dis, maintenant, j'ai enfin, vraiment le saint graal, pour moi, de l'entrepreneuriat, c'est celui-ci je suis payé pour exister et surtout, je pense que c'est celui qui va nous apporter le plus d'impact, même si, évidemment, toi, à une échelle beaucoup plus grande que la mienne, des milliers et des milliers de personnes qui te disent merci pour une formation de mobilité, une routine. Évidemment, c'est génial, mais toi et moi, je pense qu'on a ce côté, ok, c'est cool, tu vois, mais ça ne me représente pas entièrement.

Speaker 1:

Tu vois, c'est un petit truc. Et c'est là où je pense que cette idée un peu de l'authenticité, créer quelque chose qui te ressemble vraiment et la marque personnelle, et vraiment être payé pour exister. C'est a fait avant moi. Je me dis pour des proches, pour des enfants, etc. Je me dis j'ai envie de créer comme un empire qui est autour de moi, et c'est le truc qui m'excite au plus haut point.

Speaker 1:

Et donc là, ma question pour toi, c'est est-ce que tu penses que toutes les personnes qui vont entendre ça, est-ce qu'il estasse un peu la même chose que nous? c'est-à-dire, d'abord, il y a une étape dans laquelle tu dois faire un truc juste déjà, pour monter en compétence. Tu vois technique, pour péter tes croyances limitantes sur l'argent, l'abondance, la vente, etc. Ou bien tu peux directement sauter ce truc-là et dire tu sais quoi, moi, je suis authentique et vasitre à avoir, à obtenir comme des badges d'honneur dans le jeu vidéo. Tu sais, des classes, en fait, il te faut des compétences. Tu vois, il te faut des skills, et après, tu pourras passer dans le monde professionnel. Est-ce que là, justement, avec le recul, tu te dis Ouais, en fait, c'est difficile pour beaucoup de gens, parce qu'elles ont peur de se faire juger. Je pense que là, avec ce qu'on va partager là-dessus, ça peut être intéressant pour qu'elles explosent pas mal de croyances, qu'elles changent de paradigme et qu'elles se disent It has to be done. Je dois passer par là.

Speaker 2:

Exactement Mon ami Pascal, que tu connais. C'est vraiment, c'est comme en boxe. Dans la pratique de la boxe, tu pourras aller courir, faire de la muscu, faire du renfort, travailler en shadow avec des cordes, des machins, faire du sac, et tout. À un moment donné. Si tu veux devenir meilleur, il faut te mettre dans un ring avec un casque, avec un mec, et il faut passer du temps à s'avoiner pour avoir de l'expérience en se parer. C'est la différence entre la théorie et la pratique Et l'économie du chemin dans l'entrepreneuriat. Je pense que d'avoir eu ce message de la part de mon pote, on ne peut pas faire l'économie du chemin. Ça m'a vraiment aidé à créer une base solide qui fait qu'aujourd'hui je n'ai plus aucun doute sur ma capacité à générer de l'argent, à être dans l'abondance. Et ça, c'est venu du fait que j'ai masterisé mon domaine de compétences. J'ai trouvé ma zone de génie. Je n'ai pas besoin, moi, j'ai vu des business sur Internet. Je ne j'ai pas besoin, moi, j'ai vu des business sur internet. Je sais pas si tu te rappelles, je t'avais envoyé ça. Le mec, il gagne des milliers d'euros en écrivant des messages sur des pommes de terre qu'il envoie par la poste. D'accord, donc, tu comprends que l'abondance, elle est partout. Donc j'ai pas besoin. J'ai pas besoin d chiropracteur, naturopathe, médium, hypnothérapeute et ultra compétent dans tous les domaines pour attirer l'abondance. Si ma zone de génie, c'est d'enlever une épine dans le pied des gens, si je ne fais que ça, je vais pouvoir réussir. Il n'y a pas de doute là-dessus. Par contre, cette compétence intrinsèque, elle ne suffit pas. Il faut d'ailleurs que, pour pouvoir réussir, il faut que les gens sachent ce que tu fais. Donc, il faut développer des esquisses de communication, il faut que tu aies un système qui permet aux personnes d'accéder à toi facilement.

Speaker 2:

La simplicité, c'est quelque chose qu'on prône tous les deux dans nos approches, que ce soit au niveau physique, au niveau spirituel ou que ce soit au niveau entrepreneurial. La simplicité, le travail de simplicité, les gens ne s'imaginent pas qu'être simple, c'est beaucoup plus difficile que d'être de créer des business avec. Créer un site internet sur une seule page, c'est beaucoup plus complexe que créer un site internet avec 10 onglets. Je ne sais plus qui disait ça. Un fuseau français qui disait la simplicité, c'est la plus haute forme de La plus haute forme de sophistification. C'est Devinci La simplicité. C'est la plus haute forme de la plus haute forme de sophistication.

Speaker 1:

C'est devinci La simplicité est la clé de la sophistication.

Speaker 2:

Voilà, c'est ça, j'avais plus le. Et la perfection, c'est pas quand il n'y a plus rien à ajouter, c'est quand il n'y a plus rien à retirer. Ça, c'était Je sais qui qui disait ça aussi. Et donc voilà, il faut, il faut que ça, ça devienne des skills. On peut pas faire cette économie de maîtriser ça. Donc après, comme un peu le sujet de ce podcast, c'est à dire que tu peux le faire à ta manière, ça empêche pas. La simplicité pour toi, c'est pas la même simplicité pour moi. Tu es un technicien, tu es quelqu'un qui a un bagage technique sur certains domaines, beaucoup plus compétent que le mien. Ce que tu peux voir comme facile et confortable pour toi, pour moi, c'est une usine à gaz, d'accord. Donc, ça n'empêche pas qu'on peut faire la chose à sa manière, mais réfléchir toujours à la simplicité, parce que moi, je pars du principe si tu apportes un service à quelqu'un, si tu es là pour aider quelqu'un, mon métier principal déjà, au-delà de résoudre le problème, c'est de limiter la distance entre celui qui est venu chercher de l'aide et celui qui est capable d'en donner. Donc, maîtriser, c'est ce qu'il a pour ensuite créer une abondance avec ça. Avec ce que je sais faire, moi, je sais clouer des planches sur un mur et je vais être payé pour ça et je vais mettre à l'abri ma famille. Je vais pouvoir manger de qualité, je vais pouvoir dormir sereinement, je vais pouvoir me déplacer quand j'ai besoin de me déplacer, je vais ne plus avoir à compter mes pièces dans mes poches à la fin du mois, parce qu'une fois que je suis dans cet espace mental, une fois que j'ai créé ce système d'abondance automatiquement, j'ai plus les mêmes idées, j'ai plus les mêmes comportements, j'ai plus les mêmes actions. Automatiquement, quand tu réfléchis dans un espace de manque et d'urgence, tu n'as pas les mêmes idées que quand tu réfléchis dans un état d'abondance où tu peux être patient, où tu peux prendre le temps, où tu peux analyser sans être en train de courir après une carotte de l'autre côté. Donc, ouais, pour répondre à ta question, je pense que c'est indispensable de faire ce chemin, parce que c'est les marches qui mènent au point de vue qui va te permettre de voir la prochaine montagne. En fait, être entrepreneur, c'est juste passer d'une montagne à une autre et de, logiquement, toujours passer d'une montagne plus haute que l'autre. Et à chaque fois que tu passes une montagne, c'est d'emmener des gens avec toi. C'est vraiment ce truc-là. De Là, je vais parler pour moi personnellement. Si je veux atteindre l'abondance financière, si je veux atteindre la liberté que je vise pour moi, si je veux être aussi riche et puissant dans tous les sens du terme, c'est pour que ça la puisse ruisseller pour les autres qui m'entourent. Je ne comprends pas le principe de vouloir 200 milliards sur ton compte en banque et de ne pas le partager avec les autres. D'ailleurs, ça n'existe pas. Je ne connais aucune personne qui n'a réussi financièrement, qui ne fait pas ruer se les larmes, qui ne fait pas ruer son temps. C'est impossible, c'est impossible. Ça n'existe pas, c'est impossible. On peut.

Speaker 2:

Les gens qui critiquent le succès, les réussites financières, tout ça et tout, c'est des gens qui ne comprennent pas comment fonctionne le monde et ils opèrent justement par un Leur système opère à travers un manque et une urgence.

Speaker 2:

Exactement, tu ne peux pas comprendre. Déjà, avant d'être entrepreneur, j'avais cette vision-là. D'ailleurs, c'était une des choses qui a fait que, pendant longtemps, j'ai stagné et je n'ai pas brisé un certain point de fond de verre. C'est que je voulais créer un modèle économique qui soit basé sur le bénévolat. Quand j'étais en Thaïlande et que j'étais en train de créer mon Académie Jedi, je voulais créer quelque chose qui soit sur du bénévolat, sur tout ça, et puis, au bout d'un moment, je me suis juste rendu compte que non, ce n'est pas possible. So, c'est soit je prends des partenaires financiers qui vont me permettre de soutenir le projet, et eux, ils ont des attentes commerciales, ils veulent des retours sur investissement, et on paye le prix de faire ce retour sur investissement pour que tout le monde s'y retourne avec la machine de game pérenne, ou alors, moi, je fais en sorte d'être dans l'abondance et soit juste une partie de plaisir pour moi et que je puisse le nourrir sans que ça me nuise, sans me sacrifier. C'est ça.

Speaker 1:

Donc, tu vois, ça, c'est très important. Ce que tu dis, c'est impossible d'avoir l'abondance financière quand il y a une notion de sacrifice, ça n'existe pas. Ce que je dois me tuer, moi, pour avoir, encore une fois, c'est que tu ne comprends pas l'ab. C'est une énergie, ça doit circuler. Si toi tu n'es pas bien et que tu es comme ça, tu vas le bloquer. Donc, tu vas être plus radin, tu vas avoir peur de le perdre, tu vas mal le gérer, etc.

Speaker 2:

Mais oui, et donc ça, en fait… Tu ne vas pas prendre les risques qui sont nécessaires. Parce que si le fait de Je n'avais pas envie de mettre ma tronche sur Internet, moi, tu vois, c'était quelque chose. Aller être sur Instagram 4 heures par jour pour mettre des cœurs à côté de commentaires et répondre aux commentaires, parce que ça favorise l'algorithme, ça fait du reach, et tout Ça me fait chier, je n'ai pas envie de faire ça. C'est un truc qui me, tu vois, limite. J'est un truc qui me, tu vois, à la limite. J'avais un jugement profond sur ça. Je me disais que c'était de la merde, que c'était quelque chose.

Speaker 2:

Le monde, c'est pas normal. Que ça fonctionne comme ça, c'est injuste. Le monde devrait pas fonctionner comme ça. Tu vois, on devrait tous être sous les arbres manger des pommes ensemble, et Tu vois ce que je veux dire. Il y avait cette rébellion contre ce truc là. Et puis, le jour où j'ai compris que c'est juste un outil, il y a des règles du jeu et que si tu joues dans les règles du jeu, le truc, que tu sois mal intentionné ou bien intentionné, le truc, il va te mettre en avant.

Speaker 2:

Donc, moi, j'ai décidé d'être le meilleur dans ça, parce que si ça doit être moi, le vilain petit canard dans tout ce monde d'influenceurs, de personnes qui sont là pour prendre, prendre, prendre, prendre, prendre, et que moi, mon idée, c'est de donner, mais de hacker ce système-là pour pouvoir faire ce que j'ai envie de faire et y aller comme j'y vais. Bon vas-y, je joue dans les règles du jeu. Si tu joues au Monopoly avec 10 personnes et que toi tu décides de, je prends pas 20 000 balles à chaque fois que je passe, j'en fais. Donc tu vas pas pouvoir acheter tes hôtels, tu vas pas pouvoir arriver à créer l'espace où ta voix porte plus que les autres pour créer le système d'abondance et le système pérenne, pour partager avec les autres.

Speaker 2:

Donc, ça a été vraiment un gros changement de mindset d'accepter de dire ok, il y a un prix à payer, c'est de jouer ce jeu-là pendant quelques temps, parce qu'une fois que c'est fait, maintenant, avec l'audience que j'ai, avec la force de frappe que j'ai lorsque je communique, je peux taper très juste, donner de la valeur, donner des conseils, partager ce qu'on disait, qui je suis, comment je vois le monde, et de rallier des gens à ça et de créer une communauté et d'aller plus loin ensemble.

Speaker 2:

Quand tu fais des stages, quand tu fais des stages, que ce fais des des stages, que ce soit en ligne ou en physique, le nombre de fois où tu arrives avec des, c'est des inconnus qui arrivent à toi et quand ça repart, ça devient des amis.

Speaker 2:

Pour certains, ça devient des frères et des frères d'armes avec qui tu peux co-évoluer.

Speaker 2:

Et c'est ce que je vais rebondir sur ce que tu disais tout à l'heure, sur cette nécessité de faire cette marche, de gravir ces marches pour arriver sur un point de vue où, quand t'es sur le point de vue, tu te dis mais putain, il y a un mec sur la montagne, là-bas aussi, il a gravé sa propre montagne, lui, là-basas pas, ou qui se rapprochent de toi ou, en tout cas, il apporte un point de vue différent, une vision différente qui enrichit constamment ce que tu fais.

Speaker 2:

Et ce mec là, il connait 2-3 personnes que quand tu les rencontres, et ben, eux aussi, ils ont des idées différentes, des machins, des trucs, et ce qui se passe, c'est que tu te rends compte que, même si le mec est dans le même business que toi, même s'il fait la même chose que toi, en fait, tout le monde se nourrit et c'est un écosystème sain qui se crée. Et je pense que, oui, pour le futur que je veux, pour mes enfants. Le futur que je veux pour moi-même, c'est de créer justement cet écosystème où je suis entouré que de personnes qui répondent à mes valeurs.

Speaker 1:

C'est ça mec.

Speaker 2:

Que des personnes qui répondent à mes valeurs, qui ont les mêmes objectifs, qui ont les mêmes envies, qui ont la même vision de l'altruisme, de la santé, de du business, du business. Un exemple que je donnais, par exemple, c'est que quand j'ai commencé à demander de l'aide pour créer mon business, j'ai eu la chance d'avoir Olivier, qui est arrivé près de moi tout de suite. Mais, olivier, il était dans une certaine démarche au niveau du business. Il avait un mode opératoire qui ne convenait pas à celui que moi. Il était dans une certaine démarche au niveau du business. Il avait un mode opératoire qui ne convenait pas à celui que moi.

Speaker 2:

Il était justement dans cette, il avait compris qu'il pouvait prendre et moi, je disais ok de prendre, mais c'est dans l'idée derrière de redonner et c'est vraiment de créer cette boucle vertueuse. Et, à un moment donné, on a eu cette discussion. Parce que tu peux être en croissance permanence, parce que tu es sur, tu améliores constamment tes skills et tu améliores constamment ta communication, ta façon de faire et tout. Mais tu peux être en croissance permanente en étant uniquement focus sur les chiffres et en appliquant des trucs mathématiques et en te désignant complètement.

Speaker 2:

Et à un moment donné, j'ai senti ça a duré très peu de temps j'ai senti ce côté qu'on a tous en nous, même moi, à un moment donné, tu as ce côté greedy, comment on appelle ça, greedy L'avarice Ouais, tu veux t'accaparer quoi? tu te dis ah bah, j'ai accès à ça, je vais y aller à fond, je vais prendre un max de pognon d'un coup et puis je vais faire ci, je vais faire ça, tu vois. Et en fait, à un moment donné, on a eu cette discussion, c'était voilà, pour qu'on continue ensemble, il faut que je sache est-ce que toi, tu veux faire un business en coupant des arbres ou est-ce que toi, tu veux faire un business en plantant des graines? Les deux, tu peux devenir milliardaire, mais il faut qu'on sache dans quelle direction on est.

Speaker 2:

Et ce jour-là, c'était une évidence que nous, on voulait planter des graines, qu' on voulait planter des graines et qu'on voulait planter des arbres et améliorer la santé de cette planète. Donc, on a dit OK, on va juste mettre de côté certaines choses et nous axer sur d'autres choses. Et ça a apporté ses prix.

Speaker 1:

C'est ça, une fois que tu as cet alignement, de toute façon, et que tu comprends que, littéralement et c'est un peu le sujet aussi du podcast, un peu le sujet aussi du podcast, un peu le sujet qui englobe le sujet parapluie, c'est qu'en vérité, mec, tu peux être ultra bienveillant, altruiste, vouloir sauver la planète, être dans l'écologie, être dans aider l'humanité, et, mec, être blindé aux as, avoir des systèmes, être ultra compétent, être très technique, un marketing. Ce n'est pas parce qu'on a certains exemples qui l'ont mal fait que, d'un coup, en fait, le sujet, maintenant, il a des qualités négatives. Non, ça, c'est un jugement moral, c'est ce que nous, on a à faire là-dessus. Mais, encore une fois, et c'est d'ailleurs moi, c'est souvent un des blocages que je fais péter chez les gens et chez mes élèves, et, tout comme l'écologie, tu sais sauver la planète et même tout ce qui est, tu vois, mystique, au gazeux, en fait, il arrive à tes oreilles parce que tu as des mecs qui font du marketing, tu as des mecs qui te le vendent et des mecs qui se sensibilisent à ça.

Speaker 1:

Donc, faut pas confondre l'outil et la portée de l'outil. Comme tu l'as dit, on peut planter des graines ou couper des arbres, un pistolet, il peut sauver ta famille ou tuer des gens, c'est la même chose. Et l'outil du marketing, l'outil de la vente, de la communication, en fait, c'est un truc qu'il faut vraiment être à l'aise avec ça rapidement, et il faut le démystifier. Et je te dirais même que si tu as des sensibilités un peu spirituelles, tu aimes bien l'idée de Ouais, plein de philosophies, c'est qu'on est tous connectés et tout. En fait, c'est largement compatible avec cette idée de l'abondance financière Pour les gens qui sont réellement dans l'abondance, dans l'idée que tu peux toujours croître, tu peux aider plein de gens, tu peux que l'amour, la gratitude, c'est les émotions de plus haute fréquence, bien sûr, c'est complètement compatible-dire plus toi tu augmentes ta valeur pour les autres, ça veut dire que toi, tu as au préalable augmenté ta propre valeur déjà vis-à-vis de toi-même, en compétence, en estime de toi, en confiance, en prise de risque.

Speaker 1:

Là, tu as plus d'outils à donner. La qualité de ce que tu peux proposer, la rapid, amener quelqu'un à une transformation, le bien que tu peux communiquer, en fait, il est augmenté Et donc, c'est là où il y a une contradiction, il y a une hypocrisie chez toutes les personnes qui, peut-être, ont cette approche un peu plus binaire, noire ou blanche, et qui se disent Ils oublient le fait qu'eux sont des êtres adaptables et qui peuvent croître. Ils se disent moi en fait pas changer, moi qui je suis. C'est là où c'est incompatible et c'est là où vous n'allez jamais l'obtenir. Toi, tu dois changer. Comme tu l'as dit très justement, il y a une phase dans laquelle tu dois te mettre au service des autres et pour ça, tu dois cravacher. C'est le nombre de postes, c'est bombarder, comme toi et moi on l'a fait pendant des années sur plusieurs plateformes Un message affiner les choses, comprendre le marché. Finally, tune your sword. Tu vois, c'est que les mots que tu choisis, mec, ils ne représentent pas qui tu es. On sait très bien que tu as de la nuance, on sait très bien que tu as de la profondeur, on sait très bien que c'est bon gars, tu n'as rien à prouver. Mais là, tu es là pour aider quelqu'un.

Speaker 1:

Femme, elle est débile, mais non, elle est en train de parler à un enfant. Donc, elle utilise un vocabulaire plus petit, plus simple, pour lui communiquer, à lui l'idée. Pourquoi? Parce qu'elle est au service de cette personne-là. Toi, si tu la regardes de lui, avec ce vocabulaire, avec cette illustration, cet exemple, va être capable d'apprendre la politesse, d'apprendre à ne pas mettre ses doigts dans la prise, faire attention au feu. Elle, elle a accompli sa mission Et là, hop, quand elle sort de cette interaction, elle peut parler avec toi de physique quantique si tu en as envie.

Speaker 1:

Et donc, c'est là où la communication, c'est pareil, toi, tu as un avatar, il a une, et je te dirais même que c'est les gens qui ont le plus de compassion et le plus d'empathie qui sont les meilleurs entrepreneurs, en tout cas dans nos domaines à nous, quand il s'agit d'apporter une transformation au niveau de la santé, business, etc. C'est ça la réalité. Le mec qui est dans son coin, qui se dit Attends, j'ai fait un post sur les 12 chakras et je ne comprends pas. Personne ne réagit. Tu te masturbes, tu te regardes toi-même. C'est de l'égocentrisme, en fait.

Speaker 1:

Moi, j'ai montré ça maintenant, regardez tout mon ensemble de connaissances. Mais ça aide personne, comme tu le disais, avec des populations plus âgées, ou moi-même avec des populations à l'époque, des athlètes, ce n'est pas les plus éduqués, même en prépa physique, etc. Moi, j'ai tout simplifié alors que je venais, comme tu sais, des trucs de Ido Portal et tout, de Charles Polica, gars, il y a beaucoup. C'est de la trompette mec. Au final, fais ci, fais ça, 5 rêves, fais comme ça, ça fonctionne le mec il avance et ton objectif, surtout au début, c'est d'aider l'autre.

Speaker 1:

Et c'est là où tu vois cette notion un peu de mentalité, création de réalité, spiritualité. Pour moi, elle est totalement cohérente avec l'entrepreneuriat Et je te dirais même qu'il y a très peu de domaines je ne sais pas si tu vas être d'accord avec ça mais il y a très peu de domaines dans le monde, très peu de métiers qui te permettent réellement d'être au plus proche du réel, en tout cas de cette notion d'exist, rester aussi là dès que tu veux, tu peux aussi impacter les gens. Il y a une notion de connexion à l'autre. Moi, je dirais, il y a l'entrepreneuriat, la vie d'artiste et la vie d'athlète. Le reste, tu vois après. On peut parler évidemment de sauver des vies. D'accord, oui, les hôpitaux machin.

Speaker 2:

Et encore, tu vois, de tout ça, Ce sont que des pions Malgré eux-mêmes. Il y en a beaucoup qui sont des pions dans un système où ils tapent dans l'eau. Je suis totalement d'accord.

Speaker 2:

J'ai fait un triple pontage à un mec ce matin. Il y en a dix autres qui attendent derrière, parce que le problème, c'est pas faire des triples pontages, ça va jamais sauver les gens, tu vois. Ça va les sauger sur un point d'instant T, mais si le mec, il change pas son mode de vie, et bah, il va que revenir là. Tu vois, et si le système dans lequel il est bercé, même si on lui dit de changer son mode de vie, on lui donne quand même des statines, et bah, il va arriver à un st, et il y a la détresse physique, émotionnelle, qui s'englobe dans tout ça. Je me suis permis de rebondir sur ça. Mais oui, je comprends tout à fait, et il y a cette importance de comprendre, que on se nourrit les uns les autres en permanence. Il n'y a pas le choix, il n'y a pas le choix, ça fonctionne comme ça. Donc, c'est, soit tu décides de dire ok, je vais vivre ma vie, je vais créer un système où c'est un système égocentré, c'est à dire que c'est autour de moi. Je fais en sorte de créer quelque chose où, moi, je ne suis déjà pas un problème dans cet univers. Je crée des compétences, je crée des choses quitences, je crée des choses qui font que les gens autour de moi peuvent en bénéficier directement. Je leur simplifie la tâche parce que j'ai fait des essais, j'ai fait des erreurs, j'ai réussi, j'ai échoué, je suis passé par telle ou telle expérience. J'ai l'expérience aussi des autres gens que j'ai aidé. Donc, je simplifie l'approche pour que les gens, elles, puissent s'y accéder plus rapidement. Le fait qu'ils y arrivent plus rapidement, ça fait un accélérateur, ça crée encore plus de valeur, ça amène encore plus de temps, d'énergie et d'argent. C'est plus facile de déménager quand tu as huit bras que quand on n'a que deux, et c'est un cercle vertueux qui fait que, ok, on ne va peut-être pas changer le monde. C'est sûr que ce n'est pas moi, avec mon travail sur la mobilité ou la santé holistique, qui vais arrêter les guerres, mais par contre, je vais créer un système où celui qui refuse de subir ça, il ne le suivira pas. C'est tout Celui qui refuse de Moi. Tu vois, je ne suis pas fan des démonstrations de vertu, tu vois, mais je suis fier et heureux de savoir que, moi, je suis dans une ville, il y a à peu près 140 000 habitants. Si je veux, quand je vais le soir, chaque personne dans le besoin que je vois, je peux lui donner de l'argent, je peux lui permettre de manger ce soir. Tu vois, à chaque fois que je vais au marché, il y a des enfants, pour les gens qui sont déjà venus en Thaïlande, il y a des enfants. Il y a des mendiants, il y a des personnes qui sont handicapées, qui sont hors de la société, qui sont dans une caste extérieure. Tu vois, eh bien, aujourd'hui que j'ai fait tout ça, je voulais le faire quand je n'avais pas d'oseille, mais c'était soit eux, soit mon fils. Ça a été mon fils. Donc, c'est tout, c'est c'est.

Speaker 2:

À un moment donné, tu comprends pas que on place des mots entrepreneur. On parle de de machin, de signaux, de trucs, tout ça, mais derrière, c'est juste, t'es un humain qui s'assume ou pas, t'es un humain. T'es un humain qui décide de d'utiliser son potentiel pour améliorer sa vie et ne pas être un problème pour celle des autres. Exactement, c'est tout. Tu n'es pas un parasite, tu n'es pas un cafard, tu n'es pas là pour gratter les autres, machin et tout.

Speaker 2:

Si, pour arriver à ton besoin, pour arriver à devenir qui tu es, tu dois passer par là, ce n'est pas un problème. Tu n'as pas à t'en vouloir si tu es suffisamment honnête avec toi-même en te disant Ok, là, j'ai besoin de demander 2000 balles à mes parents pour pouvoir acheter le matos dont j'ai besoin pour faire la formation dont j'ai besoin. Je m'autorise à le faire. Je ne vais pas me blâmer, je ne vais pas me dire que je suis nul, que je ne suis qu'une merde, que je ne le mérite pas ou quoi que ce soit. Si je, si je suis réellement honnête avec moi-même et que je fais le tasse derrière, je vais pouvoir leur rendre au centuple. Donc j'y vais.

Speaker 2:

Par contre, tous ceux on parle de de vivre un enfer personnel, mais tous ceux qui sont là, qui sont le cul entre deux chaises, qui font un pas en avant, deux pas en arrière, qui ont toujours un pied dans la porte, ils sont de ah oui, mais moi, je rêverais de faire ça, je veux faire ci, je veux faire ça, mais je ne veux pas quitter le boulot dans lequel je suis, qui me casse les couilles, dans lequel je n'aime pas ce que je suis en train de faire, si, en même temps, je continue à entretenir la relations toxiques avec leurs femmes, qui sont des boulets, des bourrins, qui répondent pas à la sagesse que je veux voir dans ce monde.

Speaker 2:

Tu vois, je suis déjà en train de vivre un enfer Et il n'y a pas besoin d'attendre 50 ans ou comme ce soit pour être malheureux ou truc, mais il n'y a rien qui va changer. Il n'y a rien qui va changer. Je pourrais rêver autant que je veux, regarder autant de films, autant de reportages, accumuler autant de connaissances de formation, passer autant de diplômes que je veux, si je ne quitte pas les mères dans lesquelles j'ai mes pieds, il n'y a rien qui va évoluer Exactement.

Speaker 2:

Et ça ça part du principe, à un moment donné, de se dire je mérite mieux que ça, ma famille mérite mieux que ça, tout le monde mérite mieux que ça. Et j'y vais, mais c'est là où? Parce que le pire, c'est quoi. Le pire, c'est quoi, c'est que ça change pas.

Speaker 2:

Le pire, t'es là, t'es déjà dedans et et là, moi, ça me fait penser à comment rebondir sur le fait de créer un système qui résonne avec nous. Tu vois, ma carrière de sportif m'a amené ce mode de vie où j'aime me lever tôt, j'aime faire en sorte que la première chose que je fais dans ma journée, c'est m'occuper de moi, c'est mon hygiène personnelle, mentale, mon corps, mon esprit, ma nourriture, tout ça, j'ai les six premières heures de ma journée qui me sont attribuées. Ensuite, moi, tout ça, tu vois, j'ai les 6 premières heures de ma journée qui me sont attribuées. Ensuite, ben, dès le moment où ça a commencé à fonctionner avec Nico Mobility, et vu la quantité de travail que j'avais donné avant et tout, tout de suite, je me suis dit attends, attends, attends, attends, attends, attends. Je vais pas continuer comme ça pendant 10 ans.

Speaker 2:

Moi, le format idéal, c'est je travaille 2h par jour et je travaille deux heures par jour. Dans ces deux heures là, je fais que ce que j'ai envie de faire. Pas ce que j'ai envie de faire dans le sens, mon cabris, je veux faire ce que j'ai envie de faire. Non, c'est ce que je veux faire, c'est les choses dans lesquelles je suis le meilleur, dans lesquelles je prends, dans où je suis le plus efficace et le plus percutant. Tout le reste, je ne veux pas le faire. Pourquoi? Parce qu'il y a d'autres personnes qui le feront mieux que moi. Et si je veux continuer à aider les gens de me machiner et tout, il faut que ce soit une personne plus qualifiée que moi qui le fasse. Et ensuite, je veux que ma soirée, ce soit que j' du temps pour moi encore, pour m'étirer, pour aller vers les objectifs physiques, psychologiques, émotionnels, spirituels et tout que je me suis fixé.

Speaker 2:

Et ça a été tout de suite, dès que le business a commencé à marcher. J'ai mis ça en place parce que c'est ce qui va faire la durée Entrepreneur. Ce que j'ai compris aussi, c'est que ça peut être un flambeau de paille si tu fais pas attention parce que tu vas te buter, tu peux retomber dans les mêmes problématiques, tu peux remettre les pieds dans la même merde que t'étais avant de commencer. Parce que tu dis oui quand il faut dire non, tu dis non quand il faut dire oui, tu te surcharges le travail inutilement parce que tu n'arrives pas à être efficace. Tu es berné par des illusions de contrôle de gain. Tu es berné par des illusions de perte ou de gain.

Speaker 2:

Et si j'ai un conseil, si on doit résumer tout ce qu'on a dit jusqu'à présent, c'est qu'à un moment donné, tu fais cet effort de mettre un système en place qui te permet d'entrer dans l'abondance. Et une fois que ce système est en place, il ne faut pas hésiter à sortir la serpette et à dégraisser tout ce qui peut être dégraissé pour que, toi, tu restes au cœur de ce business, que tu aies la main sur tout, c'est-à-dire que tu mets en place le système qui te permet d'être en sécurité avec ça, c'est-à-dire que tu sécurises la chose, tu sais que tu peux continuer à grossir et derrière, tu délègues, tu libères de l'espace pour que ta santé, ta famille, ton amour, ça reste ta priorité, parce que ça va être le voit.

Speaker 2:

Je crois que les statistiques, c'est 1% des entrepreneurs sur 5 ans qui se lancent qui arrivent à vivre de leur activité et qui restent en place après ces 5 ans. Donc, gros, gros efforts à mettre là-dessus. Et moi, je raisonne beaucoup avec le travail que tu fais quand tu dis voilà la vision claire sur zéro concession. Moi, j'ai dit je veux travailler deux heures par jour. Et sur ces deux heures, parce que je suis pas un branleur, parce que je suis honnête et sincère avec moi-même, parce que j'ai la discipline à côté de ça qui me permet d'avoir un haut niveau de performance physique, mentale, eh bien, en deux heures, je peux faire ce qu'un mec fait en huit heures dans un bureau Amen.

Speaker 2:

Et je suis même en train de réfléchir à une heure, tu vois.

Speaker 1:

Comment arriver aux une heure? Je suis à fond, mec, à fond, à fond, pareil. Là, moi, j'ai pris à cœur ça, mec, de ouf, l'an dernier. et cette année où, là, maintenant, pour la première fois de ma vie, j'ai une équipe qui fait 95% des tâches que moi j'ai faites pendant quatre ans, là, je ne fais plus rien, mec. Même là, par rapport à même l'an dernier, je ne fais plus un appel de vente, je fais mes deux coachings d'une heure dans la journée, entre mec, je tape des barres à enregistrer les podcasts et j'ai mes. je peux remettre maintenant des 4 heures d'entraînement. moi, les 3 premières années de Moveance, j'étais encore athlète de Muay Thai. Et les gens, ils se disent Ah, ouais, j'ai vu ça. Non, mais tu connais quoi? Tu imagines bien, les gens ne captent pas que tu vois, nous même là, quand on parle, tu vois des gros volumes de production, et c'est pour ça que c'est ultra important. le corps, mec, c'est que nous, on a le corps qui permet de faire ça, tu vois, c'est-à-dire que tenir même 2-3, etc. Les gens, ils ne voient pas le reste de notre journée, comment elle est. On a quand même les entraînements, on a les moments où on tape des barres, on peut voyager ensemble, etc. Même dans le cas où tu bosses, moi je peux mettre des 5 heures par jour. tu m'as vu dans les coachings, etc.

Speaker 1:

Pourtant, j'ai la manité de libre, je m'entraîne En fait quand tu es as envie. même, tu vois, il y en a qui ne veulent pas, il y en a qui veulent. et bien, en fait, tu le peux. Et c'est pour ça que, par la suite, quand tu arrives à cette phase où tu as justement cette abondance financière et que tu peux déléguer, collaborer, avoir une équipe, etc. c'est là où tu te rends compte que'est l'équivalent d'une semaine d'un autre gars.

Speaker 1:

En fait, en une journée, tu peux blinder de plein de choses. tu vois de tes activités, de tes trainings, d'un passage en nature, de pures conversations cosmiques avec ta compagne, et en même temps bosser et en même temps coacher et tout. Et en fait, ta journée, c'est comme pour moi, c'est comme une micro-vie. tu vois du réveil jusqu'au coucher, il y a ta naissance jusqu'à ta mort. En fait, ta journée, c'est ta vie. Et comme les grandes choses, moi, je veux que chaque jour, je fasse tout ce que j'aime. J'ai mon moment de taf, mais j'ai mon moment de vacances, j'ai mon moment d'entraînement et j'ai mon moment de couple. Il y a tout dans une journée, et si tu meurs mercredi, tu n'auras pas vu ta femme. en fait, voilà Les derniers souvenirs que tu as.

Speaker 1:

Tu sais, ça n'a pas de sens. Et je pense que ça, c'est ultra important dès le début, dans la vision d'avoir aussi la vision de ta vie, Et c'est là où ton business va nourrir ta vie, pas l'inverse. Si tu vois là, Si jusqu'à présent, ça a toujours soutenu tout mon lifestyle, c'est que c'est bon. Et à mesure que je gagne en maturité, que j'ai des rencontres, que je comprends d'autres systèmes, d'autres machins, que je fais évoluer ma vision, là, j'ajuste la quantité de travail, j'ajuste les tâches que je choisis, j'ajuste même les condamné. Ça aussi pour beaucoup de gens qui disent Ouais, moi je me vois pas faire 10 ans d'Instagram et tout. Mais qui te dit de 10 ans, mec, Fais-toi un petit chapitre déjà de 2-3 ans Et après tu verras Si t'as envie de continuer, tu continues, Sinon tu l'éteins.

Speaker 2:

Moi, je l'ai éteint Et je l'ai rallumé, ce truc-là, on s'Instagram. Je ne fais plus de Facebook, je ne fais plus de TikTok, je ne fais plus de YouTube. Moi, je fais des vidéos. Je fais des vidéos, ensuite je les donne à un mec qui les monte, et ensuite, le mec qui les monte, il les donne à un mec qui les poste sur les plateformes. Donc, moi, je ne fais pas La plateforme, j'y vais que si j'ai envie.

Speaker 2:

Tu vois, on y va pour voir des choses incroyables. Tu vois mon fil d'Instagram, il y a quelques temps, tu te rappelles, il n'y avait que des trucs, des bêtises. Et là, maintenant, par ma consommation, je ne vois que des choses belles, je ne vois que de la nature, je ne vois que des. Donc, c'est vraiment Le réseau social. J'ai découvert ça. En fait, j'ai compris ça. C'est que le réseau social, c'est vraiment le reflet de ce que tu veux voir dans le monde. C'est vraiment ce reflet-là, c'est la puissance de l'algorithme. C'est génial, c'est un truc, c'est magnifique. Je veux dire, c' meilleure version de moi-même. Bon, si tu regardes, hop, en 24 heures, ton mur, ton fil change et tu vois que des choses qui t'emmènent dans cette chose-là, ah ben, moi, je veux kiffer. Je veux voir les plus beaux paysages, les plus beaux animaux de la planète, les machins. le truc, en 40 minutes, l'algorithme a changé. Je voyais que ça. D minutes, l'algorithme a changé. Je voyais que ça, d'où le truc de la vision claire Qu'est-ce que je veux voir, de quoi je veux me nourrir? Mes yeux, mes oreilles, ma bouche, qu'est-ce que je veux toucher, qu'est-ce que je veux ressentir? Ça aussi, ça donne le signe de l'ascension. C'est vraiment ça.

Speaker 2:

Être entrepreneur, c'est le mot vulgaire, je trouve, pour dire être juste, comme on disait tout à l'heure, mettre de la conscience sur la vie que tu as et utiliser les outils qui sont à ta portée pour jouer au jeu de la vie de la meilleure des manières. Amen. Entrepreneur, c'est être un être humain, tu vois, c'est entreprendre. Je ne connais pas un être humain qui pour, enfin. Oui. C humain qui pour, enfin. Oui, c'est entreprendre pour sa survie. Si tu n'entreprends pas pour ta survie, il y a quelqu'un qui va entreprendre pour toi, et s'il entreprend pour toi, ça veut dire que tu lui donnes cette responsabilité. Tu donnes à l'extérieur le pouvoir à l'autre d'agir sur toi.

Speaker 2:

T'étonnes pas derrière si on te fait faire des trucs que moi, j'ai envie de faire tout ce que j'ai envie de faire et je veux me concentrer à faire les tâches où je suis le plus efficace. Si je reconnais que je ne suis pas le plus efficace dans un domaine, que même si je sais le faire, je sais le faire, mais je ne suis pas le plus efficace, c'est du temps d'énergie que je pourrais mettre ailleurs. Je délègue, je délègue, moi. Aujourd'hui, je travaille avec un, deux, trois personnes, on est quatre en tout. On est quatre en tout. Et tu vois, là, je reviens de Kossamoui. Là, j'ai passé 15 jours de vacances. J'ai eu quatre mails par jour à répondre, c'est tout. J'ai eu 4 mails par jour à répondre, c'est tout. J'ai cette capacité. J'ai créé cet écosystème où, là, je repars.

Speaker 2:

Après demain, je vais passer un mois dans une autre ville, pouvoir supporter ma copine dans son aventure entrepreneuriale à elle aussi, être productif, parce qu'au final, je vais avoir à produire des vidéos que je vais envoyer à mon monteur. Ça va me prendre moins de deux heures par jour. Je vais répondre à des mails. J'ai des nouvelles choses qui sont en cours, des formations, des projets de retraite, des stages, des trucs comme ça, qui nécessitent de l'énergie ponctuelle, que je vais pouvoir répartir sur ces deux heures au fur et à mesure de la semaine, nos stress. J'ai vraiment atteint ce truc où, et pendant que je continue à faire ça, mes chiffres grossissent.

Speaker 2:

Donc, s'il y a des gens qui doutaient encore que c'était possible, là vous avez un exemple. Plus j'atteins l'abondance. Donc, s'il y a des gens qui doutaient encore que c'était possible, là vous avez un exemple. Plus j'atteins l'abondance, plus mon capital augmente, plus ma force de frappe augmente, plus ma capacité à aider à créer des choses augmente, moins j'ai besoin de travailler Exactement. Plus j'ai besoin de travailler Exactement, plus j'ai juste à être moi-même et à faire ce qui me tient à cœur, c'est tout, je pense.

Speaker 2:

J'adore la définition du succès que donne Sadhguru dans un de ses livres. Il y a beaucoup de personnes qui pensent que le succès, la réussite, c'est arriver avant quelqu'un d'autre. En fait, inconsciemment, on a ce biais cognitif de la compétition, c'est-à-dire que pour être le meilleur, il faut que j'arrive numéro 1, il faut que je passe la ligne d'arrivée numéro 1. C'est pas ça, être le meilleur. Le succès, la réussite, c'est quand ton environnement, ton corps, ton mental, tes énergies sont confortables, c'est tout. Et j'ai axé tout sur ça maintenant, sur cette définition. Alors, pour avoir un corps confortable Et j'ai accès, tout sur ça maintenant, sur cette définition. Alors, pour avoir un corps confortable, il faut aller cultiver l'inconfort.

Speaker 2:

Mais tu vois ce que je veux dire la direction, elle est là. C'est ça, ce qui me permet de savoir que je suis dans la réussite. Ce n'est pas les chiffres sur mon compte en banque, ce n'est pas l'endroit dans lequel je dors, ce n'est pas la destination dans laquelle je vais passer mes vacances ou quoi que ce soit, ce n'est pas l'école dans laquelle est mon fils, ce n'est pas tout ça, c'est qu'il y a le moins de friction possible, c'est que la vie se passe sans friction. Il y a le moins de friction dans ma vie parce que si il y a friction, ça veut dire qu'il y a résistance, ça veut dire qu'il y a quelque chose qui nécessite d'être optimisé. Et si je suis un besogneux, que j'aime ça, que j'aime la friction, je laisse comme ça. Mais si j'aspire à à grandir, j'ai juste à trouver l'endroit où il faut mettre un petit peu d'huile, où il faut usiner la pièce un petit peu différemment, et hop, et on y va.

Speaker 2:

Parce que si la machine, elle fonctionne mieux, encore une fois, je vais pouvoir carry encore plus de personnes avec moi, je vais pouvoir avoir encore plus d'impact et avancer encore plus loin, découvrir des choses. Je veux dire, c'est comme encore dans un des livres de Sadhguru, où il dit je souhaite que vos rêves ne se je ne. Alors, il ne dit pas ça, il dit je vous souhaite que vos rêves ne se réalisent pas, je vous souhaite d'aller au-delà. Je vous souhaite d'aller au-delà parce que ton rêve, les rêves, l'imagination, elles ne peuvent fonctionner qu'à travers ce que tu connais déjà. Donc, c'est far away and beyond.

Speaker 2:

Et moi, c'est ça que je veux, c'est me mettre dans les conditions où, putain, explorer Il y a des milliers de choses que je ne connais pas, que je n'ai pas encore faites Et de savoir que j'ouvre le champ des possibles en faisant ce que je fais aujourd'hui, plus qu'en opérant dans un espace où j'étais de manque et d'urgence, où, au final, tu te cesses de vivre pendant huit mois pour pouvoir vivre deux mois par an. C'est juste ça de se dire Ok, demain, j'ai l'expérience». Tu te dis Viens, j'ai trouvé un truc au Japon à aller visiter une cascade. Après, ça veut pas dire que je le fais, mais juste de se dire c'est possible c'est possible, c'est possible, c'est ça aussi le truc c'est des choses qui sont écrites dans les textes sacrés.

Speaker 2:

Dire oui quand il faut dire oui, dire non quand il faut dire non, c'est bien joli en théorie, parce qu'il faut être dans la posture de pouvoir le faire. Donc, tu as la capacité morale de pouvoir leir. Comme ça, c'est. Je ne peux pas souhaiter autre chose à tout être humain.

Speaker 1:

C'est clair, c'est clair, mon Nico, on fera pas mieux pour conclure cet échange. C'est un excellent premier épisode. Tiens, voilà, je vais teaser pour des prochains épisodes ensemble dans cette saison. Là, exceptionnel, je te remercie. Là pour le coup. C'était Far and Beyond pour cet échange. Est-ce que t'as des dernières paroles à laisser à nos auditeurs?

Speaker 2:

on se laisse là-dessus je vais dire mon adage préféré à quoi bon faire tout ce que l'on fait si ce n'est pas pour être plus heureux? Merci la vie, merci Slim pour tout ce que tu fais, merci de m'inviter à chaque fois sur tes podcasts, merci de mettre cette checkpoint dans le temps où je reprends plaisir à les regarder à chaque fois quand ça me prend. Et pour ceux qui nous écoutent et qui ont encore un doute sur est-ce que c'est la bonne chose à faire ou pas, allez-y, Quel que soit votre projet. Tu veux être champion olympique, tu veux faire des pattes multicolores ou je ne sais pas, peu importe ton projet, vas-y. Comme dirait un grand philosophe sur un malentendu, ça peut marcher. Quoi? T'as aucune chance, Vas-y, fonce.

Speaker 1:

Merci, mon frère.

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